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Anonim

L'assurance invalidité de la sécurité sociale, ou SSDI, fonctionne comme un assureur de "dernier recours" pour les personnes qui souffrent d'une maladie invalidante qui les empêche de travailler. Dans la plupart des cas, SSDI ne couvre que la plus grave des conditions invalidantes. L’invalidité totale temporaire et l’invalidité partielle permanente décrivent les deux catégories de conditions pouvant donner droit à des prestations d’invalidité de la Sécurité sociale. Les différences entre les deux catégories sont liées à la longueur et à la gravité d’une condition.

Déterminations d'invalidité

L’admissibilité aux prestations d’invalidité de la sécurité sociale dépend de la capacité d’une personne à effectuer tout type de travail pendant une période prolongée. Dans le cas d'incapacités partielles totales et permanentes partielles temporaires, les examinateurs prennent également en compte l'activité antérieure d'une personne lors de la détermination des effets d'une incapacité. Les déterminations d'invalidité impliquent un processus de révision qui examine les effets de l'état d'une personne sur sa capacité à gagner sa vie. Les commissions d’examen en cas d’invalidité doivent tenir compte de la gravité d’une condition physique et déterminer si elle entraîne une déficience suffisamment importante pour justifier une aide financière sous forme de prestations d’invalidité. En effet, les déterminations d'invalidité impliquent une évaluation médicale et économique de l'état physique d'une personne.

Invalidité partielle ou totale

L’une des différences entre l’invalidité totale temporaire et l’invalidité permanente partielle tient au fait qu’une personne peut exercer une forme quelconque d’activité lucrative. Quelqu'un avec une invalidité partielle exécute à une capacité réduite par rapport à avant une invalidité. En d'autres termes, cet état l'empêche de travailler dans son secteur d'activité habituel, mais il peut néanmoins exercer d'autres fonctions. Une personne ayant une invalidité totale a perdu la plupart, sinon la totalité, de ses capacités professionnelles, quel que soit son rôle, ainsi que dans son secteur d'activité précédent.

Invalidité temporaire ou permanente

Lorsqu'ils examinent une demande d'invalidité, les réviseurs de la sécurité sociale peuvent qualifier une condition de temporaire, même en cas d'invalidité permanente. La sécurité sociale considère une condition invalidante en termes de potentiel de récupération et demande aux demandeurs de se soumettre à des examens physiques périodiques pour déterminer si une condition s'est améliorée.Dans certains cas, la différence entre une invalidité totale temporaire et une invalidité partielle permanente devient évidente lorsqu'une personne reçoit une évaluation du degré de déficience. Selon la National Archives & Records Administration, une évaluation de la déficience a lieu après qu’une personne ait obtenu une cote d’invalidité totale temporaire et qu’elle ait reçu des prestations pendant 104 semaines. Selon l'évaluation d'un médecin, une personne qui montre une récupération physique faible à nulle peut passer d'une cote totale temporaire à une cote d'invalidité partielle permanente dans les cas où une personne peut encore fonctionner à 50% de sa capacité de travail antérieure.

Différences dans les droits aux prestations

Les différences entre les invalidités totales temporaires et les invalidités partielles permanentes jouent un rôle dans la manière dont la sécurité sociale détermine le montant des droits à prestation d'une personne. Les personnes ayant une cote d'invalidité partielle permanente peuvent recevoir des prestations allant jusqu'à 500 semaines à compter de la date de la blessure, selon la National Archives & Records Administration. Les personnes ayant une cote d'invalidité totale temporaire peuvent recevoir des prestations de manière continue à compter de la date de leur dernier jour de travail. En général, le montant des prestations équivaut à un pourcentage de la différence entre le salaire qu'une personne gagnait dans son secteur d'activité précédent et sa capacité actuelle de gagner un salaire. Les montants en pourcentage se situent entre 66 et 2/3 à 75% de la différence de salaire.

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