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Le GI Bill est une prestation d’éducation fournie par le ministère des Anciens Combattants. Il s’agit d’une récompense pécuniaire accordée aux anciens combattants qualifiés qui ont servi dans l’armée américaine et qui ont obtenu une décharge honorable. L'argent peut être utilisé pour payer un diplôme universitaire, un programme de certificat, une formation au pilotage, un apprentissage ou des cours par correspondance.
Paiements et revenus
Les paiements de factures IG sont versés directement à l'ancien combattant pour être utilisés pour les dépenses d'éducation et de formation dans les programmes et les établissements approuvés. Il incombe à l'ancien combattant d'affecter cet argent à des dépenses d'éducation authentiques. Cela peut inclure les frais de scolarité, les frais, les livres et, dans certains cas, le logement. Les montants des paiements sont calculés en fonction de plusieurs facteurs tels que les frais de scolarité, les heures de formation, le coût de la vie dans la région, le statut militaire et le rang du vétéran.
Avantages excédentaires
Si le paiement de la prestation approuvée à l'ancien combattant est supérieur aux coûts engagés dans un programme d'éducation, l'ancien combattant est libre d'utiliser l'argent restant. Si les coûts liés à l'achèvement du programme d'études sont supérieurs au montant de la prestation, le vétéran doit compenser la différence. Dans les deux cas, l’argent reçu peut être considéré comme un revenu aux fins de l’acquisition d’un crédit, mais il n’est pas nécessaire de le réclamer comme revenu, sauf pour les demandes d’aide financière fédérale aux étudiants.
Taxes de dépôt
Les paiements de factures GI ne constituent pas un revenu imposable. Les anciens combattants dont le seul revenu pour une année donnée était des paiements de factures avec IG n'ont pas à déclarer leurs impôts. Si l'ancien combattant avait d'autres revenus, tels que des salaires ou des dividendes sur les investissements, une déclaration de revenus doit éventuellement être produite, mais les prestations en espèces reçues via le projet de loi sur les indemnités journalières sont libres d'impôt et ne doivent pas être réclamées.