Table des matières:
- Acte de la seconde chance
- Programmes de rentrée
- Tribunaux de réintégration et toxicomanie
- Mentorat et formation en technologie
- Information
Pour un criminel condamné, la réintégration dans la société peut être une proposition difficile. Les employeurs hésitent souvent à engager un ancien condamné, quelles que soient les circonstances de la condamnation antérieure et quels que soient les compétences et l'expérience du demandeur. Heureusement, il existe des possibilités de recyclage et d’emploi soutenues par des subventions.
Acte de la seconde chance
Une série d'initiatives fédérales ont permis d'affecter des fonds de subventions publiques à la réinsertion réussie d'anciens criminels. La loi la plus récente est la loi sur la deuxième chance, promulguée par le président George W. Bush en 2008. Cette loi prévoyait l'octroi de 326 millions de dollars de subventions à des organisations à but non lucratif et à des agences étatiques pour des programmes d'aide au logement, à l'emploi, au traitement de la toxicomanie, assistance et autres services de soutien. En 2010, 187 programmes ont bénéficié de subventions dans le cadre de l'initiative relative à la loi sur la deuxième chance. En 2011, le ministère de la Justice a lancé plusieurs demandes de subvention pour des fonds en vertu de la Loi sur la deuxième chance.
Programmes de rentrée
Le programme de réinsertion des délinquants juvéniles finance des programmes gérés par les gouvernements des États, locaux et indiens et conçus pour réduire la récidive des mineurs libérés d'incarcération. Un programme de subvention similaire permet de financer des programmes de réinsertion d'adultes. Le Centre national de ressources sur la réintégration, une division du ministère de la Justice, participe au processus de rédaction des demandes de subvention pour la présente demande de soumissions et d’autres demandes en vertu de la Loi sur la deuxième chance.
Tribunaux de réintégration et toxicomanie
Une autre sollicitation de 2011 a offert des fonds pour la mise en place de tribunaux de réinsertion aux niveaux national, local et tribal. Ces tribunaux fournissent des services de traitement et surveillent les anciens délinquants pour assurer leur transition stable à la population générale. Le programme de traitement de l'abus de substances en milieu familial offert par la Loi sur la deuxième chance offre des fonds pour créer ou améliorer des programmes de traitement de la toxicomanie en établissement, y compris des programmes de soutien à la famille.
Mentorat et formation en technologie
Le mentorat est un aspect important de tout programme de réinsertion destiné aux mineurs. Le Bureau de la justice pour mineurs et de la prévention de la délinquance a sollicité des demandes de subvention auprès d’organismes publics et d’organisations à but non lucratif pour l’emploi, le logement, le traitement de la toxicomanie et le mentorat pour les délinquants mineurs. La subvention est destinée aux programmes qui suivent les mineurs délinquants de leur incarcération à leur libération et à leur réinsertion. Des fonds relevant de la loi sur la deuxième chance ont également été accordés à des organismes locaux pour la formation à la technologie, tant pour les délinquants adultes que pour les jeunes délinquants. La formation peut avoir lieu dans des prisons ou des établissements pour mineurs au cours d'une période de trois ans avant la date prévue de la libération du délinquant.
Information
Pour tirer parti de ces programmes de subventions soutenus par le gouvernement fédéral, contactez l'agence publique qui gère les programmes de justice dans votre État. Souvent, cela s'appelle Bureau du procureur général ou ministère de la Justice; votre état a également un service correctionnel qui peut fournir des informations. Le groupe Felons of America exploite un site Web avec des liens vers les départements publics qui gèrent des programmes de réinsertion, de formation et de mentorat subventionnés (voir Ressources).