Table des matières:

Anonim

Le gouvernement kenyan n'a pas encore pris de mesures pour protéger ses citoyens des usuriers.

Étape

Le chapitre 23 (3) de la loi kényane sur les contrats stipule que toute dette doit être écrite pour pouvoir être exécutée. Et le chapitre 23 (2) (2) stipule qu '"aucun contrat écrit ne peut être annulé ou inapplicable du seul fait qu'il n'est pas sous scellé". Strictement interprété, cela signifie que tout accord écrit signé est valide. Les usuriers ont pu utiliser cette loi pour faire respecter leurs "contrats" par les tribunaux.

Droit des contrats

Loi sur la microfinance de 2006

Étape

Au chapitre 19, partie 1 (2) de la loi de 2006 sur la microfinance, une "entreprise de microfinance" est définie comme toute personne engagée dans l'octroi de crédits ou l'octroi de crédits à ses risques et périls ", y compris l'octroi de prêts à court terme à des petites ou micro entreprises ménages à faible revenu et caractérisés par le recours à un substitut de garantie. " La loi sur la microfinance exige également que toute personne exerçant ce type d'activité soit agréée. La partie II, alinéa 9 (1) c) de la même loi, dispose qu'une licence peut être révoquée et que l'entreprise est fermée si celle-ci est "préjudiciable aux intérêts de ses déposants ou de ses clients". On ne voit pas bien pourquoi les usuriers au Kenya n'ont pas été contestés avec la loi de 2006 sur la microfinance; même les usuriers se réfèrent à l'activité qu'ils exercent sous le nom de "microfinance".

Licence

Étape

Le chapitre 19, partie II 4) 1), dispose que "personne" ne peut opérer en tant qu'entreprise de microfinance à moins d'être enregistré en tant que société au sens de la loi sur les sociétés et sous licence de la Banque centrale du Kenya. La pénalité prévue au chapitre 19, partie II (4) (2), est la suivante: "une amende maximale de cent mille shillings, une peine d'emprisonnement maximale de trois ans, ou l'une de ces peines".

Autorité du sujet

Étape

Conformément au chapitre 19, partie II 4) i), concernant les entreprises de microfinance, la Banque centrale a le pouvoir d'interdire "toute autre activité que celle-ci peut prescrire". Le chapitre 19, partie IV, confère à la Banque centrale le pouvoir d'inspecter les registres et même d'intervenir dans la gestion de toute entreprise de microfinance.

Conseillé Le choix des éditeurs