Table des matières:
- Signification juridique de la location à volonté
- Droits et obligations des locataires volontaires
- Signification juridique de la colocation
- Options juridiques pour l'expulsion de colocataires
Un bail écrit peut procurer une tranquillité d'esprit au propriétaire et au locataire, car les deux parties comprennent clairement leurs obligations financières et légales. Cependant, de nombreux contrats de location se déroulent souvent sans bail. L’arrangement qui en résulte dépend du fait que l’occupant prenne la chambre du propriétaire ou d’un locataire qui avait précédemment loué la maison au propriétaire. L'occupant peut avoir un arrangement de location à la volonté ou colocataire. Les droits et obligations de chaque partie dépendent des lois de l'État sur les propriétaires et les locataires.
Signification juridique de la location à volonté
Une personne qui occupe une pièce sans bail écrit peut avoir une location à volonté. Dans ce type d'arrangement, le locataire et le propriétaire ont un accord verbal autorisant le locataire à vivre dans la chambre en échange du paiement du loyer à intervalles réguliers. Par exemple, le locateur peut demander au locataire de payer un loyer chaque mois à une date spécifiée. Toutefois, contrairement à un bail traditionnel, une location à volonté n’impose pas de contrat exécutoire aux parties pendant un an ou une autre durée convenue. Une location à volonté peut convenir à une locataire qui a des doutes sur ses projets futurs ou qui n'a besoin que de rester au même endroit pendant une courte période.
Droits et obligations des locataires volontaires
Le locataire ou le propriétaire peut mettre fin à la location à volonté à tout moment en donnant un avis à l'autre partie. Le délai de préavis requis doit correspondre à au moins un intervalle complet établi pour le paiement régulier du loyer de la chambre. Les lois propriétaires-locataires peuvent prévoir une mesure de protection pour les locataires même s'ils n'ont pas signé de baux écrits. Les États exigent souvent une procédure d’expulsion si le propriétaire souhaite le départ du locataire à sa guise. Certains États peuvent suivre des règles distinctes sur les avis d'expulsion des locataires à leur guise.
Signification juridique de la colocation
Un colocataire peut survenir lorsqu'un nouvel occupant emménage dans une pièce d'une maison déjà louée par un locataire ayant signé un contrat de location résidentielle avec le propriétaire. Le locateur n'a de relation juridique avec le locataire qui a signé le bail, à moins que le locateur et le nouvel occupant ne signent un contrat supplémentaire. Si le colocataire omet de payer le loyer, le locateur peut uniquement demander le paiement du locataire initial. De plus, si le colocataire et le locataire initial n'ont pas de bail entre eux, le locataire initial pourrait ne disposer que de peu d'options juridiques si le colocataire ne payait pas le loyer ou causait des dommages à la maison. Par conséquent, avant qu'un locataire initial n'autorise un colocataire à occuper l'une des pièces de sa maison, il peut être amené à déterminer s'il doit signer un contrat de sous-location.
Options juridiques pour l'expulsion de colocataires
Lorsqu'un propriétaire a un problème avec un colocataire ou un autre occupant non spécifié dans le bail initial de la location, les options légales du locateur dépendent des lois de l'État où se trouve la maison. Certains États exigent des poursuites pour expulser spécifiquement des occupants non autorisés tels que des colocataires. Certains États autorisent également une action de sauvegarde initiée par le locataire d'origine pour expulser un colocataire qui refuse de déménager. Lorsque la loi de l’État le permet, l’action en réserve est une option lorsque le colocataire n’a pas signé le bail initial ou un sous-bail avant d’occuper la pièce.